Les Belges et la charcuterie d’Italie, une histoire d’amore – Le Soir
Jambons et saucissons de la Botte connaissent un succès croissant auprès des consommateurs d’ici. Pour des raisons de gourmandise et de finesse (de tranches).
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Par Julien Bosseler
Jambon de Parme, mortadelle, coppa… Entre les Belges et les charcuteries d’Italie, c’est plus que jamais l’amore. C’est en tout cas ce que démontrent des chiffres de l’Istat, l’Instituto nazionale di Statistica, des données de marché mises en exergue par le programme européen Trust your Taste. Entre 2020 et 2021, les exportations transalpines de salaisons et de spécialités charcutières vers la Belgique ont gonflé de 16 % en volume. Rien qu’entre janvier et juin de l’an dernier, ce sont 4.705 tonnes de cochonnailles, pour une valeur de 54,9 millions d’euros, qui sont parvenues dans nos magasins depuis la Botte, soit un peu plus de 5 % des exportations totales en volume et 6,5 % en valeur de ce secteur alimentaire italien.
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