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11h33 : Toujours sur les nouvelles attributions des ministères, Amélie de Montchalin, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, hérite notamment des questions de développement durable, de la protection de la biodiversité, de l’aménagement et de la lutte contre l’étalement urbain. Les questions de qualité du logement, d’efficacité énergétique et de lutte contre l’habitat indigne lui reviennent également.
11h24 : Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin récupère dans le nouveau gouvernement le portefeuille lié au droit d’asile et à l’intégration des étrangers, qui était porté depuis 2020 par Marlène Schiappa, selon un décret d’attributions paru jeudi au Journal officiel. Le ministre de l’Intérieur reprend donc seul la main sur l’ensemble du dossier, comme c’était le cas sous le gouvernement d’Edouard Philippe, lors du premier quinquennat d’Emmanuel Macron.
11h27 : Brice Teinturier, directeur général délégué d’Ipsos, assure que les “Français ont très clairement la tête ailleurs”, alors que moins d’un Français sur deux (47%) déclare s’intéresser vraiment aux élections législatives. “Il n’y a pas vraiment de campagne d’ailleurs. Ce n’est pas que les Français n’écoutent pas ou n’entendent pas, c’est que cette campagne est un non-objet”, estime également le directeur général délégué d’Ipsos. “Les Français ont seulement le sentiment que tout a été dit à la présidentielle”, ajoute-t-il.
10h40 : “On prend [la dynamique de la Nupes] au sérieux parce que, à la fois médiatiquement, à la fois dans les sondages, le seul aujourd’hui qui existe, à part la majorité présidentielle, c’est Jean-Luc Mélenchon.”
La majorité “prend au sérieux” la dynamique de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes) de Jean-Luc Mélenchon, assure la députée LREM Aurore Bergé dans “Les 4 Vérités” sur France 2. “Il n’y a aucune autre opposition aujourd’hui qui ait une existence politique forte et crédible”, assure la députée des Yvelines.
07h34 : Alors que la campagne des législatives a officiellement débuté lundi, les polémiques plombent le gouvernement et Emmanuel Macron : l’affaire Abad, le Stade de France… L’entourage du président de la République, qui reste pour l’instant en retrait, s’inquiète d’une campagne “désespérément plate”, alors qu’il ne reste qu’une dizaine de jours avant le premier tour.
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